Le regard de l’avare captivé par l’or ne sera jamais celui du poète rassasié de la beauté éphémère le comblant de reconnaissance, d’admiration…
L’œil ne juge plus et ne voit plus ce qui est encore attaché aux branches de ce qui est à terre…
L’œil ne regarde et ne cherche la différence mais voit la beauté, l’harmonie et s’en réjouit…
Le cœur vertueux se détourne de la richesse extérieure écrasante et qui l’assèche pour se tourner vers ce qui l’enrichit: l’amour de son prochain…

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Bavardage ou rêve, assis sur le vieux banc du jardin ...
Je réponds aux commentaires le plus souvent sur le blog même de l'intéressé(e) ... Sachez que j'apprécie chaque bavardage, chaque conseil.
Hélas le temps ne me permet pas toujours d'apporter une réponse, Veuillez m'en pardonner !